Alors, Le Message d'Andrée Chedid. On en parle! Vous vous souvenez de ce bouquin que votre prof de français vous a refilé au collège? Celui qui semblait aussi long qu'une file d'attente à la Sécu un vendredi après-midi? Oui, celui-là!
Mais, avant de crier au scandale littéraire, restons zen. Parce que sous ses airs de devoir imposé, Le Message, c'est un peu comme une madeleine de Proust: une fois qu'on y trempe le nez, on se retrouve à cogiter sur des trucs auxquels on n'aurait jamais pensé autrement.
L'histoire, en deux mots (parce qu'on a pas que ça à faire!)
En gros, c'est l'histoire d'un mec, Ram, dans un pays lointain (genre, pas chez nous, quoi). Il doit délivrer un message hyper important. Genre, tellement important que la survie de tout le monde en dépend. Et là, attention, plot twist!: il se fait buter. Oui, oui, buter. Mais le message, lui, il doit arriver à destination! C'est le début d'une chaîne de transmission, un peu comme un téléphone arabe, mais version "danger de mort à chaque étape".
Le nombre de pages: parlons-en!
Ah, le nombre de pages! Le Graal de l'élève qui tente de lire en diagonale pour pouvoir dire "Oui, Madame, je l'ai lu!" sans trop mentir. Disons-le franchement, Le Message, c'est pas *Guerre et Paix*. C'est plutôt un bouquin qu'on peut finir pendant un vol Paris-Marseille, si on ne s'endort pas pendant la phase de décollage. On parle d'environ 150-200 pages, selon l'édition. C'est pas la fin du monde, promis!
Imaginez, c'est comme si vous deviez lire la notice de votre nouveau grille-pain. C'est ennuyeux, mais si vous voulez éviter de transformer votre cuisine en barbecue, vous vous y collez. Sauf que là, au lieu de griller du pain, vous décortiquez des thèmes universels comme la responsabilité, le courage et la transmission.
Pourquoi c'est pas si mal, en fait?
Parce que, mine de rien, ce petit bouquin nous parle de nous. Il nous parle de la manière dont on gère les infos, dont on transmet nos valeurs, dont on se bouge (ou pas) pour faire avancer les choses. C'est un peu comme regarder un épisode de votre série préférée: on se reconnaît dans certains personnages, on s'énerve contre d'autres, et à la fin, on se dit: "Tiens, ça fait réfléchir, ce truc!".
Et puis, soyons honnêtes, une fois qu'on a survécu à Le Message, on a une histoire à raconter. On peut fanfaronner en soirée en disant: "Ah, Chedid? Ouais, je connais. C'est philosophique, mais ça se lit bien, tu vois!". Et là, bim, on passe pour un intellectuel. La classe!
En conclusion (parce qu'il est temps de passer à autre chose)
Alors, oui, Le Message d'Andrée Chedid, c'est peut-être un peu scolaire. Mais c'est aussi un petit livre qui peut nous faire grandir, si on lui en laisse la chance. Et puis, avec à peine plus de 150 pages, c'est pas la lecture la plus fastidieuse qu'on puisse imaginer, non?
Alors, on s'y met? Après tout, le message, c'est peut-être vous qui devez le transmettre maintenant. Et vous savez quoi? C'est pas si effrayant que ça en a l'air. Enfin, sauf si vous vous faites buter en chemin. Mais on n'en est pas là, hein?