Alors, parlons de "It's Okay To Not Be Okay", ou "Psycho But It's Okay" pour les intimes. Pourquoi cette série coréenne cartonne encore aujourd'hui ? Eh bien, disons qu'elle aborde la santé mentale avec un mélange d'humour noir et de tendresse, ce qui est rare et rafraîchissant ! On est tous un peu bizarre, non ? Et cette série nous dit que c'est parfaitement... okay. C'est un peu comme un câlin collectif après une mauvaise journée.
Le but de cette série, c'est un peu de déstigmatiser la santé mentale. Pour les spectateurs, c'est une bouffée d'air frais, une occasion de se sentir moins seul dans ses galères. Pour les professionnels, c'est un exemple (romancé, certes !) de la complexité des relations et de l'importance de la communication. Et pour les romantiques, c'est une histoire d'amour tordue mais touchante, qui prouve qu'on peut trouver le bonheur même avec des bagages émotionnels lourds.
On voit l'influence de "It's Okay To Not Be Okay" partout! Des mèmes sur les réseaux sociaux, des discussions passionnées sur les forums, et même des personnes qui citent les dialogues dans la vie de tous les jours! (Surtout la fameuse réplique de Ko Moon-young sur les papillons dans le ventre). Lors des soirées pyjama, c'est souvent le film à regarder en pleurant en mangeant de la glace!
Alors, comment appliquer les leçons de la série dans notre quotidien ? Premièrement, soyez gentil avec vous-même. Vous avez le droit d'être fatigué, triste ou juste "pas okay". Deuxièmement, n'hésitez pas à parler. Que ce soit à un ami, un membre de votre famille ou un professionnel, verbaliser ses émotions, c'est déjà un grand pas.
Troisièmement, inspirez-vous de la série pour être plus empathique envers les autres. On ne sait jamais ce que les gens traversent. Un simple sourire ou un mot gentil peuvent faire toute la différence. Souvenez-vous, on a tous nos propres démons. C'est okay!
En résumé, "It's Okay To Not Be Okay" est bien plus qu'une simple série. C'est un rappel que la vulnérabilité est une force, que l'imperfection est belle et que, finalement, on est tous un peu fous. Et c'est parfaitement okay.
